STIMULER L’IMMUNITÉ EN AUGMENTANT SON TAUX VIBRATOIRE
Rappelons un axiome de départ : nous ne sommes pas seulement de la matière sous forme d’un corps. Nous sommes faits d’atomes et de particules en mouvement qui diffusent de l’énergie et des courants électriques. Les électrocardiogrammes et électroencéphalogrammes mesurant l’activité électrique du coeur et du cerveau en sont une belle illustration.
En effet, nous sommes composés à 95% d’énergie, avec un taux vibratoire qui est propre à chacun d’entre nous. Nos qualités de santé, de vitalité et d’immunité sont directement reliées à notre taux vibratoire. Plus ce taux est élevé et meilleure sera notre adaptabilité et notre relation avec ce qui nous entoure. Nous ne sommes donc pas tous égaux face à des sollicitations venant de l’extérieur.
Nous allons d’abord rappeler la définition de taux vibratoire, puis poser les bases de variation pour certains vivants et enfin voir comment nous pouvons augmenter notre taux vibratoire.
DÉFINITION DU TAUX VIBRATOIRE
La physique quantique observe et décrit le comportement des atomes, des particules, et du rayonnement électromagnétique qui s’en dégage.
La terre, les végétaux, les animaux, les minéraux et tous les êtres vivants sont de nature quantique et répondent à ces lois décrites par la physique…
Le taux vibratoire qualifie le niveau d’énergie qui se dégage de la matière, son rayonnement énergétique et qui lui permet d’interagir avec tout ce qui l’entoure. Ce taux est exprimé en unités Bovis et permet de poser les vivants sur une échelle de taux de vibrations. Posons d’emblée le fait que les chiffres n’ont pas de fondement scientifique ; il s’agit d’une appréciation, d’un ressenti du corps qui reçoit les vibrations et les perçoit par rapport aux siennes.
De plus, ces chiffres sont variables d’un moment à l’autre de la journée en fonction de l’environnement.
L’être humain ne fait pas exception, en tant que vivant, il vibre selon un taux qui peut varier d’un individu à l’autre en fonction de son environnement, son humeur, son stress, ses maladies, ses pensées, ses fréquentations et selon l’importance qu’il accorde à son corps, son esprit et à son émotionnel…
L’interaction qui se crée entre deux vivants est directement lié, entre autres, au différentiel entre les taux vibratoires.
Tous les micro-organismes répondent à ces mêmes lois. Les bactéries et les virus interagissent avec nous, êtres humains selon les taux respectifs des micro-organismes et les nôtres.
QUELQUES CHIFFRES DE TAUX VIBRATOIRES
Des chercheurs en physique quantique ont tenté de poser des chiffres mais ce qui compte surtout c’est le différentiel entre deux vivants ou sur le même vivant d’un moment à un autre.
Globalement les enfants vibrent plus haut que les adultes. C’est ce qui explique qu’ils sont très résistants aux maladies et que l’enfance est un moment propice pour leur permettre de s’immuniser naturellement en allant, pourquoi pas, se rouler dans la boue… rien de mieux pour un petit enfant que d’être responsable d’un petit carré de potager.
Bien sûr, un enfant malade ou convalescent présentera un taux vibratoire plus bas.
Les personnes âgées vibrent, en moyenne, plus bas que les adultes. Il est évident que ce chiffre supporte de grandes variations, en fonction de mode de vie et du niveau de conscience de la personne.
Juste pour donner un ordre d’idée, isolons quelques groupes :
- les personnes obèses ou en surpoids vibrent bas ;
- les sujets porteurs d’une maladie chronique ou en convalescence d’une maladie grave vibrent d’autant plus bas que la maladie est grave et ancienne, attestant un épuisement énergétique au long cours ;
- les malades en cours de radiothérapie ou chimiothérapie peuvent présenter des taux encore plus bas ;
- les personnes souffrant d’addictions (tabac, alcool, produits sucrés ou raffinés, drogues) vibrent assez bas, comme les malades.
Mais, encore une fois, c’est une moyenne pour donner un ordre d’idée…
Indépendamment de ces groupes, ce qui est prépondérant, c’est la manière de mener sa vie, d’entretenir la vie en soi, la relation que l’on établit au quotidien avec soi et autour de soi. Et, sous ce regard là, une personne âgée peut avoir un taux vibratoire proche de celui d’un enfant
Des tentatives de mesures de taux vibratoires des micro-organismes ont été faites. Les virus de la grippe saisonnière et du Covid-19 auraient été mesurés.
Le Covid-19 vibre très haut, deux fois plus que la grippe saisonnière et serait donc plus contagieux.
Tout ceci nous donne des pistes pour comprendre pourquoi certaines personnes sont porteurs sains, alors que d’autres vont développer des symptômes à divers degrés.
Les mesures semblent confirmer que les porteurs sains du Covid-19 ont un taux vibratoire plus élevé que le virus sur l’échelle de Bovis. Ces porteurs sains doivent comprendre qu’ils représentent un danger pour les populations faibles et donc prendre très au sérieux les mesures de confinement car elles ont pendant un temps qu’il est difficile de prévoir la possibilité de le transmettre.
Toutes les personnes qui vibrent en dessous de la vibration du Covid-19 peuvent développer la maladie même si elles sont en apparente bonne santé.
L’ÉPIGÉNÉTIQUE AU SECOURS DU TAUX VIBRATOIRE
La question qui s’impose à toutes et tous en ce moment est : « que faire pour augmenter notre taux vibratoire et passer largement au-delà de la zone de vibrations des bactéries et virus pour ne pas être dans la catégorie des personnes à risque ? »
Un chemin tout simple pour se mettre en route dans cette direction est de s’interroger sur nos modes de vie.
L’épigénétique est la science qui étudie les modifications de l’expression de nos gènes en fonction de notre environnement direct.
En effet, nos gènes ne constituent que seulement 2% de notre ADN codant.
Ce qui sous-entend que les 98% d’ADN restants sont directement responsables de l’expression de ces 2% d’ADN codants.
De plus, l’activité des 2% d’ADN codant est directement influencée par notre environnement, notre modes et habitudes de vie, nos pensées, la manière dont nous gérons les facteurs de stress, la façon d’accueillir et d’exprimer nos émotions…
Concrètement, cela veut dire que chaque individu est directement influencé par son mode de vie et son environnement.
Cela veut également dire que si nous changeons de mode de comportement envers nous-mêmes d’abord et envers les autres, en développant les champs de la gratitude, la joie, la compassion, la liberté, nous pouvons créer de nouveaux gènes qui synthétiserons de nouvelles protéines, de nouvelles hormones, qui, à leur tour, agirons sur la structure et le fonctionnement de notre corps.
Et, nous avons, très concrètement, à nous interroger sur :
- notre manière d’appréhender l’air que nous respirons et ce que nous mettons en œuvre pour l’assainir ;
- notre alimentation et notre façon de consommer en général, notre relation à la faim, nos éventuelles addictions ;
- la façon dont nous offrons des temps de repos à notre corps, des temps de rendez-vous avec lui pour vérifier que tout va bien, la qualité et la quantité d’heures de sommeil ;
- combien de temps libérons-nous pour des temps de ressourcement dans la nature, une marche quotidienne, de l’exercice physique de préférence « au vert », la pratique d’un sport ;
- comment accueillons-nous nos pensées, en particulier la peur, quels exercices effectuons-nous pour nous recentrer le plus tôt possible quand elle se présente ;
- comment gérons-nous nos pensées, nos réactions face à des facteurs de stress extérieurs ;
- quel temps nous octroyons-nous pour nous faire du bien ou tout simplement « souffler » ;
- notre environnement familial, amical, professionnel, social : nous nourrit-il ?
AU DELA DE L’ÉPIGÉNÉTIQUE
La médecine conventionnelle soigne le corps physique. C’est une merveilleuse médecine de l’urgence, pour sauver des vies lors de maladies graves ou d’accidents. Malheureusement, elle le fait avec peu de moyens, totalement débordée par la demande et trop souvent en excluant la personne et en instrumentisant le malade. De plus, elle ne s’intéresse que fort peu à comment entretenir son capital santé et vitalité.
Les médecines traditionnelles anciennes sont tournées sur l’art de monter en santé, en vitalité et en immunité, d’être à l’écoute du moindre bruissement dans la merveilleuse équipe Corps-Mental-Emotionnel-Ame, de soutenir en permanence le corps énergétique / quantique, de s’interroger sur nos habitudes de vie, de méditer, de vivre en conscience…
Ces Médecines Traditionnelles nous invitent depuis la nuit des temps à prendre notre santé et notre vitalité en mains et à devenir acteur et responsable, autonome dans notre vie.
L’être humain est responsable de son corps, mais également de son énergie qui représente au moins 95% pour seulement 5% au corps physique.
Lorsque nous délaissons voire nions notre dimension énergétique, ne nous intéressant qu’à faire disparaître à coup d’interventions ou médicaments le moindre symptôme, nous ne percevons que 1 à 2% de notre réalité. Et nous considérons que notre vision de la réalité est juste, sans faiblesse et que nous maîtrisons tout…
Et pourtant, nous savons bien que nous n’avons ni l’odorat du chien, ni l’extrême sensibilité des félins, ni la vision perçante de la chouette dans la nuit ou celle, extrêmement large de l’aigle qui plane très haut et embrasse tout.
Cette constatation nous accule à admettre que nous percevons notre environnement que de manière incomplète et déformée par nos croyances et nos formatages.
Il serait bon d’installer un nouveau mode de pensée : « ce n’est pas parce que nous ne percevons pas que ça n’existe pas ».
Terminons avec l’importance de vivre en conscience, d’être dans la gratitude de la vie qui coule en nous, de cultiver l’autonomie et la responsabilité envers soi et envers les autres.
N’oublions pas que la manière dont nous gérons la relation à nous-mêmes, notre corps, nos émotions, nos pensées s’impacte sur l’environnement et la matière.
C’est le moment où jamais d’être le changement que nous voulons pour le monde. C’est nous qui créons le monde dans lequel nous vivons, personne d’autre.
Le monde d’aujourd’hui est à l’image de notre chaos intérieur.
Nous sommes à l’aube, peut-être déjà dans les premières contractions de l’accouchement, de la fin d’un monde et de l’avènement d’un autre qui se cocrée.
Dans ce confinement qui nous est imposé par un virus et par des forces de l’ordre, c’est à chacun d’entre nous de décider s’il veut faire partie ou pas de ceux qui vont inventer cet autre monde…
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